28 Décembre 2017
Précédemment dans l’épisode VII de Star Wars, LE REVEIL DE LA FORCE : cliquez ici.
ATTENTION, ATTENTION : ce qui va suivre étant une parodie de ce qui se passe REELLEMENT dans STAR WARS VIII, LES DERNIERS JEDI, ne lisez pas plus loin si vous ne voulez pas savoir.
L’action se situe immédiatement après la fin du VII... Enfin j’espère. Parce que c’est soit ça, soit Rey est en train de tendre le sabre laser de Luke depuis deux ans ce qui constituerait une sorte de record du monde de la crampe (voire du priapisme).
Donc si on se souvient bien, on a d’un côté Finn très-très blessé, Poe Dameron, Leïa et tout le reste de la Resistance-Rébellion (puisque le nom est visiblement interchangeable en VF) sur D’Qar et de l’autre Rey et Chewbacca qui ont retrouvé Luke sur son île paumée.
Ainsi, même si les membres de la Rébelliance ont réussi à détruire l’enooooooorme Étoile de la mort dans LE RÉVEIL DE LA FORCE, plein de gentils destroyers stellaires ennemis sortent de l’hyper-espace (merci Saint Gareth Edwards) en se postant en orbite juste devant leur rable et commencent à les arroser de façon extrêmement nourrie. Poe Dameron fait alors le malin auprès du Général Bill Weasley pour gagner du temps.
*PFIUOUUuuuuuu* missile dans la gueule du pilote de X-Wings, réponse du berger à la bergère, #JeSuisPoe, extinction de la Tour Eiffel, fin de l’impunité, fin de la souffrance, standing ovation dans la salle...
Il parvient ensuite à dégommer tous les canons du gros et vaillant vaisseau de son ennemi rouquin et même si l’action suicide de la dernière pilote de bombardiers alliés permet de faire des dégâts dans la flotte des méchants, les rébelliants n’ont pas d’autre choix que celui de d’qarer (pardon) tout en se disant qu’en passant dans l’hyper-espace, le méchant Premier Ordre leur lâchera les basques.
Mais c’était sans compter sur les ingénieux ingénieurs facétieux de l’organisation machiavélique, qui avait d’ailleurs l’invention dans les tuyaux depuis ROGUE ONE (et là, ça fait déjà deux doigts d’honneur que Rian Johnson adresse à J.J Abrams). Les gentils sont donc drôlement dans la merde et ils vont passer la quasi totalité du film à se maintenir à distance du très gros destroyer stellaire qui leur colle au cul en attendant de trouver un plan, et les méchants à attendre que le vaisseau des gentils tombe tout aussi gentiment en panne sèche et perde son bouclier de protection pour pouvoir réduire enfin à néant toute forme d’opposition, mouahahahahahaha (rire sardonique)...
Sauf que depuis le début, la Leïa en a un, de plan : se rapprocher le plus possible d’une ancienne base de l’Alliance Rebelle où elle était allée en colo quand elle était petite, passer leur gros vaisseau en mode autodestruction furtive pour qu’il fasse un gros *boum* surprise silencieux dans la gueule des vilains, le quitter discrètement avant qu’il n’explose (évidemment), dans des capsules de sauvetage, plus maniables, moins voyantes et tenter de faire atteindre la planète à un maximum de gentils...
Et le pire, c’est qu’il fonctionne parfaitement ce putain de plan ! Mais c’est toujours plus drôle de faire croire qu’on n’en a pas, ça laisse carte blanche aux scenari merdiques et aux initiatives personnelles foireuses de Môssieur Poe Dameron, le connard...
Comme FaceTimer Maz Kanata en pleine baston dans son rade sur Takodana (qui n’avait pas été détruit dans l’épisode précédent ?) pour lui demander comment faire pour désactiver le traceur dans l’hyper-espace sur le gros vaisseau des méchants (depuis quand Maz est devenue une sorte de Wikipedia de la résolution de problèmes ?). Comme envoyer Finn (qui, comme à son habitude, venait de tenter de déserter), flanqué de la sœur de la pilote de bombardier morte au début, dans un Monaco galactique pour trouver un hackeur. Comme les laisser copieusement faire de la merde en garant leur vaisseau sur la plage (normal), en libérant-délivrant les gentils falthiers, des chevaux de l’espace, prisonniers des champs de courses, prétexte narratif présent uniquement pour nous gratifier d’un clin d’oeil a JURASSIC PARK et d’une course poursuite numérique 3D à dos de ces bestioles aussi visuellement atroce qu’inutile (puisqu’elle ne sert qu’à foutre du bordel dans un accès de rébellion destructrice immature débile, et en rien ni la cause des bestiaux qui seront rattrapés de toutes façons ni celle des gamins d’écurie, tout aussi esclaves qu’Anakin à l’époque, qui devront en plus sans nul doute cravacher dix fois plus pour réparer leurs conneries). Comme les voir revenir avec Benicio Del Toro dans leur musette qui ne cesse de leur répéter que tout n’est que du business (c’est beau le cynisme) ce qui ne leur met pas du tout le puce à l’oreille parce qu’ils sont un peu bouchés à l’émeri les deux niais, quand même. Comme leur raconter au téléphone le plan de Leïa devant leur nouvel acolyte qui n’était pas du tout le mec qu’ils étaient venus chercher à la base. Comme les voir se faire trahir comme des merdes par Benicio qui va tout cafter les projets de la Rébelliance à Hux et Kylo (qui, comme la jumelle Skywalker l’avait prédit, n’avaient absolument pas percuté l’évacuation en scred de leur vaisseau-mère). Comme observer les navettes de sauvetage se faire allumer une par une. Comme contraindre Laura Dern à se suicider en passant en hyper-espace avec le gros vaisseau des gentils pile-poil dans la gueule du gros vaisseau des méchants...
Ça nous aurait donc épargné trois bons quarts d’heure de film (voire plus) mais, parallèlement, ça nous aurait également privés de sa scène la plus impressionnante et jouissive d’un point de vue sensoriel (le suicide de Laura, pas les falthiers). Et c’est vrai que c’est pas faux !
De son côté Luke prend enfin le sabre des mains de Rey et le balance dans son dos, confirmant qu’il est bel et bien complètement passé du côté balec de la Force. Mark Hamill, qui, par ailleurs, est affublé de la doublure de Denis Quaid (entre autres) en VF, et ce n’est pas POSSIBLE !!! Non que Bernard Lanneau soit mauvais, loin de là, mais ce n’est pas la voix de Luke Skywalker ! Parce que si on cherche désespérément à se taper une bonne grosse madeleine de Proust (parce que si vous avez plus de 30 ans et que vous n’avez pas été biberonnés à la première trilogie, je serais curieuse de connaitre les raisons qui auraient pu vous pousser à aller voir ce film), comment voulez-vous que ça fonctionne s’il n’a pas la voix de Dominique Collignon-Maurin, le Luke ?
Rey le supplie de ne pas faire sa pute et de lui enseigner à maîtriser la Force... qu’elle maîtrise déjà vachement bien cela-dit. Alors Luke l’envoie chier. Alors Rey le suit partout. Alors Luke tête un dinosaure-vache géant. Alors Rey vomit. Alors Luke fait du saut à la perche entre les falaises. Alors Rey insiste. Alors Luke l’envoie rechier. Alors Rey s’entraîne toute seule en matant des tutos sur YouTube. Et puis elle discute beaucoup avec Kylo Ren dans sa tête aussi et ils sont de plus en plus attirés l’un vers l’autre par une Force irrésistible, un peu carrément comme dans un Disney, jusqu’à réussir à simuler leur présence dans la même pièce et à se toucher par la pensée (la main, calmez-vous : un Disney, on a dit !)... Ce qui nous amène à un autre niveau méconnu dans la maîtrise de la Force auquel même Yoda Mac Calloway ne nous avait pas habitués, petit cachotier vert et syntaxiquement contrarié. Bref, comme à chaque fois qu’elle s’entraine toute seule, elle manque de tuer les vieilles nonnes gardiennes du Pentateuque de l’ordre Jedi planqué dans le grand baobab sacré (bizarre ce climat), Luke, craignant une mutinerie chez ses larbines, accepte de l’aider.
Parce que ça faisait donc plus de 15 piges que toute la Galaxie le cherchait, que le type était tout simplement planqué sur une île abritant un truc pas du tout important comme les textes fondateurs des Jedi, que son disciple Kylo Ren n’était pas au courant de l’existence de cette connerie, et que Grand Schtroumpf Snoke non plus...
Et pendant ce temps, Chewbacca s’emmerde sec à bord du Faucon Millenium en attendant que les deux Jedi aient fini de se tourner autour en se reniflant le cul un peu plus haut sur l’île, alors il devient copain avec des Porgs, des petits pingouins-hamsters trop mignons et décide de devenir vegan.
Rey découvre ainsi que si Kylo Ren a de légers problèmes de confiance et de gestion de ses émotions, c’est parce qu’une nuit, alors qu’il n’était encore qu’un adolescent, il a découvert son tonton penché au-dessus de sa couche, prêt à lui faire bobo avec son gros sabre laser turgescent à la main (ce que Luke ne niera pas mais minimisera en expliquant qu’il avait renoncé à commettre l’irréparable au dernier moment). Et puis après elle plonge dans une sorte d’anus géant en algues pour découvrir le côté obscur de la Force dans les tréfonds de l’île (True story, true subtilité). Là elle va chercher à connaître l’identité de ses parents dans le miroir du Rised de Dumbledore mais n’y perçoit que son propre reflet démultiplié et pas dans le bon sens (serait-elle donc une inception d’elle-même, son clone auto-renouvelé automatiquement par parthénogenèse et midi-chloriens interposés dans son propre-utérus au bout d’un certain temps comme pour les chéquiers ?). Comme la scène est plutôt réussie, elle décide de faire des percussions de doigts avec sa multitude de doubles (mais sans se mettre à chanter : Disney garde ça pour l’épisode IX). Rey décide enfin d’aller rejoindre Ben pour tenter de lui faire entendre raison car elle en a un peu plein le cul des conneries de cette île et puis il y a encore du bon en lui (même si l’épisode nocturne qui est le siège de son traumatisme profond l’a tout de même un petit peu poussé à laisser Luke pour mort et à buter tous ses petits compagnons... comme son pépé !).
Luke tente alors de détruire les livres sacrés mais c’est l’hologramme d’un Yoda plein de blagues et en grande forme avec la reproduction numérique hyper-réaliste de ses mouvements saccadés dans L’EMPIRE CONTRE-ATTAQUE qui, tel un Mélenchon très-très lointain, fout le feu au bordel.
Du côté du Premier Ordre, Snoke divise pour mieux régner et se fout allègrement de la gueule de Kylo Ren devant le général Hux. Alors Kylo est tout vexé et il pète son casque de rage dans l’ascenseur, nous laissant découvrir à partir de là un Adam Driver nettement plus charismatique que dans le premier volet de la trilogie (ce qui n’était pas bien compliqué mais quand même : c’était limite indigne des capacités du bonhomme).
Tandis que du côté de la Rébelliance, avant de se mettre en vitesse de croisière à une distance constante de sécurité des tirs ennemis, Poe se fait vertement engueulé par Leïa pour l’ensemble des actions minables de son œuvre et plus particulièrement la dernière qui leur a juste fait perdre tous leurs bombardiers. Là, le vaisseau-mère subit une attaque et ses très récentes remontrances ne l’empêchent pas de vouloir partir faire de la quiche en solo, avec son arrogance empreinte de pseudo-bogossitude de kéké qui fait le beau dans son petit X-wing tuné mâtiné du charme certain d’un Richard Anconina dans LA VÉRITÉ SI JE MENS (notez que je n’ai strictement rien contre Oscar Isaac : c’est son personnage qui me gave). Sauf que la plateforme sur laquelle se trouve son vaisseau explose, que tout le monde meurt... sauf lui (c’est pas très gentil de faire espérer les gens comme ça Monsieur Johnson).
Attaque durant laquelle Kylo renonce à tuer sa maman qu’il avait pourtant dans son viseur. Mais ses petits compagnons s’en chargent, faisant exploser le poste où elle se trouvait sans laisser le temps à l’amiral Ackbar de gueuler « IT’S A TRAP ! ».
Et là on se dit que ça y est, le réalisateur offre une mort digne à Leïa qui, rappelons-le, aura du mal à revenir dans le IX (s’ils nous la font en CGI je ne réponds plus de rien). Mais non ! Tel Yondu se prenant pour Mary Poppins dans LES GARDIENS DE LA GALAXIE VOL.2 ou Spiderman lançant un filin invisible avec son poignet, Leïa, qui n’a jamais appris à maîtriser la Force elle non plus, revient en volant dans le vaisseau comme un Jokari humain par la seule volonté de son cerveau privé d’oxygène, recevant ainsi le facepalm d’or cinématographique 2017 haut la main.
Du coup elle passe une bonne partie du film en convalescence et l’autre partie à prendre des poses comme dans une publicité géante pour une crème hydratante. Et c’est donc Laura Dern Holdo qui va se coltiner la direction du bousin, avant de se faire éjecter par Poe Dameron et son petit putsch tout pourri. Alors quand Leïa se réveille, elle va bien être obligée de le mettre dans la confidence de son plan qu’il aura déjà bien eu le temps de foutre en l’air en douce de toutes façons. Mais c’est pas grave, nos deux grandes meneuses d’hommes et stratèges militaires vont se regarder en gloussant comme des poules parce qu’elles le trouvent tellement trop choupinou-sexy qu’elles ne peuvent pas lui en vouloir...
QUOI ?!? Non. Mais non. MAIS NOOOOON !!!!! Vous avez complètement craqué là ! C’est quoi cette espèce de déferlement hormonal de chagasses limite incestueuses en rut ? C’est quoi cette excuse toute moisie pour justifier avoir bâti plus de la moitié de l’intrigue du film sur de la merde ?!?
– Hihihi ! Nos capsules de sauvetage se font dézinguer à tout va à cause de lui.
– Huhuhu ! Je vais devoir rester dans la gros vaisseau pour le détruire manuellement et mourir.
– Mais c’est pas grave, il est trop beau Poe Dameron !
– Oh ouiiiii ! Carrément trop-trop canon quoi !
De son côté, Rey arrive dans le destroyer stellaire des méchants et Kylo la livre à Snoke qui leur annonce que c’est lui qui paye leur connexion wifi et intime l’ordre à son disciple de buter sa correspondante. Mais alors qu’il s’apprête à s’exécuter, Kylo Ben fait lentement pivoter le sabre laser posé sur le bord du fauteuil du Suprême leader, l’allume, l’embroche et le coupe en deux dans le sens du filet, un peu comme Dark Maul.
Les deux joueurs en réseau se bastonnent ensuite avec les Nouveaux gardes royaux de l’Empereur tout de rouge vêtus et qui sont presque aussi forts que des Jedi sans maîtriser la Force eux aussi, dis-donc. Bon nos deux héros finissent par gagner (faut pas déconner) et là, le Kylo et son compteur thermique intégré, voit bien que la place de Supreme Leader est encore chaude. Et vide, de surcroît. Alors il propose à Rey de venir avec lui et de régner ensemble sur la Galaxie. Mais elle refuse en lui disant qu’il s’engage sur une voie où elle ne peut pas le suivre.
Il lui annonce alors que ses parents étaient ferrailleurs. Mais comme il ajoute l’insulte à la perfidie, ç’en est trop : ils se bagarrent pour savoir qui va garder le sabre laser de Luke qui, telle une poupée que deux enfants tireraient chacun dans un sens, se casse en deux (et allez...), Holdo tanque le gros vaisseau, Kylo fait une petite sieste et Rey s’enfuit (combien d’heures d’entraînement de plus qu’elle Ben ?).
Finn et sa copine Rose sont donc arrêtés, Finn se bat avec le Capitaine Phasma qu’on nous avait vendu comme un personnage ultra-charismatique avec son armure trop stylée et la carrure de Gwendoline Christie dedans mais au final, la franchise n’en fait strictement rien et elle meurt comme une merde, d’un coup de batteur à pâtisserie géant télescopique et électrifié dans la gueule, laissant apercevoir son œil bleu pour bien être sure qu’on la reconnaisse et qu’elle soit payée pour sa prestation en attendant la dernière saison de GAME OF THRONES.
Comme Laura Dern Holdo s’est kamikazé la gueule dans le vaisseau, tout le monde quitte le navire et les gentils se retranchent dans une mine de sel avec des renards de glace Pokémon sur la planète colo.
Sel qui a la particularité d’être rouge sous la croûte blanche de sa surface enneigée ce qui est du plus bel effet visuel pour cette scène finale (on se console comme on peut). Les méchants débaroulent avec un gros bélier-laser et des TB-TT gorilles.
Les rébelliants, coincés dans la mine sans sortie de secours, envoient un message de détresse dans toute la galaxie en utilisant le code secret de Leïa (pourquoi avoir attendu tout ce temps pour le faire ?!? Hop : Facepalm de bronze) mais personne ne vient, sauf Luke qui apparaît tout à coup derrière eux (tiens, tiens...). Finn, Rose (qui se prend pour le président des Etats-Unis dans INDEPENDENCE DAY), Poe et d’autres se lancent dans une action de merde à bord de vaisseaux tout moisis pour tenter de détruire le bélier-laser qui s’apprête à bousiller le dernier rempart entre la Rébelliance et la mort, Finn décide de se suicider en se jetant avec son vaisseau dans le réacteur du bordel mais Rose l’en empêche en le tamponnant in extremis et en allant se crasher comme une conne un peu plus loin.
– Pourquoi tu as fait ça Rose ?
– Jack, si tu sautes, je saute.
Luke apparaît et ses pas ne laissent pas de traces rouges (tiens, tiens, tiens). Kylo Ren, nouveau Supreme Leader, se bagarre avec son tonton-mentor qui se croit dans MATRIX sans réussir à le toucher et ça lui fout grave les nerfs. Les quelques rébelliants encore en vie parviennent finalement à trouver une sortie en jouant à Pokémon Go. Rey débarque avec Chewbacca à bord du Faucon Millenium et soulève tout un gros tas de rochers éboulés avec ses petits neurones musclés, libérant ainsi ses copinous qui s’échappent. Et puis Luke se volatilise à son tour. Parce qu’en fait, il n’était pas vraiment là le coquin ! Il était assis sur sa pierre plate sur son île à la con et il avait envoyé une projection virtuelle de lui. Bon, cela-dit, ça lui a pompé tellement d’énergie qu’il en meure aussi (et de deux !... Chewie, ne va pas vers la lumière !!!).
À bord du Faucon transportant les livres sacrés des Jedi (quel farceur ce Yoda), les derniers survivants décident de refonder la Nouvelle Alliance Rebelle (ou sûrement un truc avec un nom dans ce goût-là) avec les trois clampins restants, Finn est tout amoureux de Rose qui s’est drôlement amochée en le sauvant, Poe et Rey se font un Check, et tout le monde prend la pose comme sur une photo promotionnelle du Season Premiere d’une série américaine.
Et pendant ce temps, dans les écuries du Monaco de l’Espace, un mini Anakin chope son balai en utilisant la Force.
FIN. À SUIVRE...