THE HANDMAID’S TALE (LA SERVANTE ÉCARLATE), Saison 4 - Épisode 1 [résumé]

June, après des débuts laborieux dans la résistance dans la Saison 1, est plus ou moins devenue une cheffe du réseau Mayday. Avec l’aide de quelques copines Chaperons rouges esclaves sexuelles, de son commandant Joseph Lawrence, d’un avion cargo et de plusieurs bonniches, elle parvient à faire évader au Canada 86 enfants de la République de Gilead précédemment volés à leurs Servantes de mères. Elle se prend une bastos en plein bide par un méchant Gardien qui fait rien qu’à l’embêter à vouloir contrarier ses plans.

THE HANDMAID’S TALE (La Servante écarlate) Saison 4 - Épisode 1, en bref :

Comme sa blessure au ventre dégorge abondamment, June décide de faire une petite sieste pendant que ses copines la transportent à l’abri. C’est alors que Janine invente la cautérisation de plaie au fumigène. 

Nos Servantes s’enfuient ensuite en camion vers l’Ouest, planquées dans un compartiment secret. Elles fouettent leur race pendant un contrôle mais parviennent à destination où elles sont lâchées dans la forêt. Elles rejoignent alors une ferme et June fait une jolie septicémie, prouvant que la méthode de Janine est encore perfectible. 

La ferme du bonheur est dirigée par le Commandant Keyes, tellement vieux et sénile qu’il passe ses journées à tester la résistance du plancher avec sa canne, sa (beaucoup trop) jeune épouse Esther (qui a un peu des airs d’Emma Watson période Harry Potter) et des gardiens complices de Mayday. June se remet doucement de sa blessure avec des antibios issus de l’agriculture biologique, les Servantes évadées deviennent des Marthas et Janine se fait pote avec un porc. 

Comme Joffrey Baratheon (ou n’importe quel enfant sadique à qui on donne du pouvoir), Esther se montre hystéro-tyrannique en butant le cochon de Janine et en la forçant à en manger. Mais c’est parce qu’en vrai, elle est complètement traumatisée : comme son vieil époux n’arrivait pas à bander mais qu’il voulait à tout prix avoir un enfant, il l’a prêtée à tout plein de mecs, reléguant ainsi June au rang de petite joueuse niveau viols subis.

June passe par plein de sentiments et d’émotions en gros plans : au début, elle veut profiter de la sécurité de sa toute nouvelle situation en s’accordant un break avec la Résistance puis, petit à petit, elle prend conscience que la ferme du bonheur n’est qu’une illusion et que les femmes y sont toujours prisonnières de Gilead. Alors, quand un des immondes pourceaux qui ont activement participé aux nombreux viols-co de la petite Esther est capturé, elle confie à la gamine le soin de le saigner comme un goret. 

Comme c’est drôlement crevant de rendre la justice, June va se coucher. Une fois sa tâche accomplie, fake-Hermione vient la rejoindre avec sa robe toute cochonnée (on la sent la thématique porcine du titre ou pas trop ?). Elle se couche alors derrière June en petite cuillère et June l’appelle « Banana », exactement comme elle le faisait avec sa fille Hannah, prouvant, si on en doutait encore, qu’elle fait légèrement un transfert.

De son côté, Lawrence, l’ex-commandant de June, attend d’être exécuté pour services rendus à la nation. Mais finalement et grâce à Nick, il devient conseiller en stratégie diplomatique dans la guerre entre Gilead et le Canada.

Suite à la fuite des Servantes placées sous sa responsabilité, Tante Lydia a subi un interrogatoire musclé pendant 19 jours. Sa gueule de méchante un poil plus mâchouillée qu’à l’accoutumée, elle a plus que jamais les boules contre June, qu’elle tient pour responsable d’à-peu-près tous les maux de Gilead et de Navarre et dont elle veut, n’y voyez rien de personnel, clairement se venger.

Et pendant ce temps, au Canada, les Waterford sont toujours prisonniers et apprennent l’évasion massive de gosses orchestrée par leur ancienne servante.

A suivre...